Bonjour Christian, je reviens sur ton commentaire : "Peu ont également souligné cet élément clé du deal : une distribution de 90% des bénéfices aux actionnaires, ceci afin de rémunérer, entre autres, le maintien de Bertelsmann au capital. 10% d’autofinancement (soit près de 46 M€ de résultat peut-être 10 de plus avec les synergies annoncées), cela risque d’être faible pour investir et “lutter contre les GAFA”…"
En réalité, le communiqué précise : "Le groupe fusionné viserait à distribuer 90% de son free cash flow en dividendes." C'est à dire 90 % du cash flow après investissements, qui est un montant beaucoup plus élevés que les 46 M€
Tout à fait, j'ai lu un peu vite... donc mea culpa : cela ne préjuge pas des investissements que le groupe unifié ferait de ses 726 M€ de cash flows d'exploitation (respectivement TF1 : 480 M€ et 246 M€ pour M6), le free-cash flow sera tout de même de 366 M€ :-)
Reconnaissons ensemble que les marges de manoeuvre restent faibles si l'on va sur le terrain des investissements dans les programmes entre GAFA et M1 (même si pas sur la même base territoriale il faut le dire)
Bonjour Christian, je reviens sur ton commentaire : "Peu ont également souligné cet élément clé du deal : une distribution de 90% des bénéfices aux actionnaires, ceci afin de rémunérer, entre autres, le maintien de Bertelsmann au capital. 10% d’autofinancement (soit près de 46 M€ de résultat peut-être 10 de plus avec les synergies annoncées), cela risque d’être faible pour investir et “lutter contre les GAFA”…"
En réalité, le communiqué précise : "Le groupe fusionné viserait à distribuer 90% de son free cash flow en dividendes." C'est à dire 90 % du cash flow après investissements, qui est un montant beaucoup plus élevés que les 46 M€
Amicalement
Tout à fait, j'ai lu un peu vite... donc mea culpa : cela ne préjuge pas des investissements que le groupe unifié ferait de ses 726 M€ de cash flows d'exploitation (respectivement TF1 : 480 M€ et 246 M€ pour M6), le free-cash flow sera tout de même de 366 M€ :-)
Reconnaissons ensemble que les marges de manoeuvre restent faibles si l'on va sur le terrain des investissements dans les programmes entre GAFA et M1 (même si pas sur la même base territoriale il faut le dire)